Rendez grâce au Seigneur : Il est bon ! Éternel est son amour ! Oui, que le dise Israël : Éternel est son amour ! Le bras du Seigneur se lève, le bras du Seigneur est fort ! Non, je ne mourrai pas, je vivrai pour annoncer les actions du Seigneur. Tu es mon Dieu, je te rends grâce, mon Dieu, je t’exalte ! Je te rends grâce car tu m’as exaucé : tu es pour moi le salut.

Je me dispose à la prière, en me mettant à l’écart.
Je lis le psaume, à haute voix.
J’accueille ce psaume d’action de grâce, empli d’Espérance et d’énergie.
Je suis sensible au fait que le psaume commence par un pluriel (Rendez grâce), une référence à la collectivité du peuple (que le dise Israël), avant que le psalmiste ne passe à la première personne : « je ne mourrai pas, je vivrai » / « je te rends grâce » …
A mon tour, comme le psalmiste, je fais mémoire des expressions que j’ai reçues de l’Église pour qualifier Dieu (Dieu d’amour, Dieu puissant…) et je m’efforce de percevoir, dans mon expérience, la façon dont ces expressions prennent sens, dans une relation concrète au Seigneur.
De quoi, à mon tour, puis-je rendre grâce, aujourd’hui ?
Je relis le psaume, lentement, prenant la place du psalmiste…
Je peux aussi l’écouter chanter.
Je termine par le Notre Père…