
Heureux qui craint le Seigneur et marche selon ses voies ! Tu te nourriras du travail de tes mains : Heureux es-tu ! À toi, le bonheur ! Ta femme sera dans ta maison comme une vigne généreuse, et tes fils, autour de la table, comme des plants d’olivier.
Voilà comment sera béni l’homme qui craint le Seigneur. De Sion, que le Seigneur te bénisse ! Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie.
Je me dispose à la prière en faisant silence en moi, pour me laisser emplir du chant du psalmiste.
Je demande au Seigneur la grâce de la bénédiction.
Je lis le psaume à haute voix.
Je m’arrête sur quelques expressions du psaume :
- J’entends l’appel du Seigneur au bonheur, un bonheur venu de la marche à sa suite. Et moi, qu’est-ce que je considère comme indispensable à mon bonheur ?
- « Tu te nourriras du travail de tes mains ». Un bonheur aussi lié au travail…Et moi, en ce moment où le travail est beaucoup mis en question, quel est mon rapport au travail ? Comment peut-il contribuer à poursuivre l’œuvre créatrice du Seigneur ?
- Le psalmiste évoque le bonheur lié à la relation familiale, et à une forme d’abondance. Je pense à mes propres relations, aux biens dont je peux disposer et prie pour ceux qui vivent la solitude et l’indigence.
Dans une conversation avec le Seigneur, je lui confie celles et. Ceux qui connaissent le bonheur, et celles et ceux qui traversent une épreuve.
Je relis le psaume, ou peux l’écouter chanter, et me tourne vers « notre Père… »