Me voici Seigneur, je viens faire ta volonté

Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice, tu as ouvert mes oreilles ; tu ne demandais ni holocauste ni victime, alors j’ai dit : « Voici, je viens. « Dans le livre, est écrit pour moi ce que tu veux que je fasse. Mon Dieu, voilà ce que j’aime : ta loi me tient aux entrailles. »
J’annonce la justice dans la grande assemblée ; vois, je ne retiens pas mes lèvres, Seigneur, tu le sais. Mais tu seras l’allégresse et la joie de tous ceux qui te cherchent ; toujours ils rediront : « Le Seigneur est grand ! » ceux qui aiment ton salut.

« Je ne retiens pas mes lèvres »
Je me mets à l’écart pour me mettre à l’écoute de ce psaume. Je cherche à me rendre disponible à l’invitation du psalmiste : « Voici, je viens. »
Je proclame ce psaume à haute voix et me laisse rejoindre par un mot, une expression, un verset, qui m’aident à mieux percevoir la volonté du Seigneur, ce à quoi il m’appelle :
L’écouter : « tu as ouvert mes oreilles ».
Discerner dans Sa Parole, dans l’Écriture ce à quoi il m’invite : « dans le livre est écrit pour moi ce que tu veux que je fasse. ».
Le chercher, avec « tous ceux qui te cherchent ».
Annoncer la Bonne Nouvelle : « j’annonce la justice » ; « ils rediront : « le Seigneur est grand ».
…
Je rends grâce d’être appelé personnellement (« est écrit pour moi » …), tout en participant à une vie communautaire. (« La grande assemblée » ; « tous ceux qui te cherchent » …).
Je relis le psaume ou peux l’écouter.
Et c’est, en communion avec l’Église universelle, que je dis « Notre Père… »