Voici le destin des insensés et l’avenir de qui aime les entendre : troupeau parqué pour les enfers et que la mort mène paître. Dans la mort, s’effaceront leurs visages : pour eux, plus de palais ! Mais Dieu rachètera ma vie aux griffes de la mort : c’est lui qui me prendra. Ne crains pas l’homme qui s’enrichit, qui accroît le luxe de sa maison : aux enfers il n’emporte rien ; sa gloire ne descend pas avec lui. De son vivant, il s’est béni lui-même : « On t’applaudit car tout va bien pour toi ! » Mais il rejoint la lignée de ses ancêtres qui ne verront jamais plus la lumière.

Je prends un temps à l’écart et je me mets sous le regard de Dieu.
Je lis et relis lentement le psaume, en étant attentif (ve) aux images utilisées, au rythme des phrases, des strophes.
Je laisse les paroles résonner en moi…Que me suggèrent-elles? Où m’interpellent-elles?
Jésus dit, en Lc 16,13: » Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. «
En ce monde aujourd’hui, où l’argent est parfois un dieu qui gouverne la vie, à quoi ou à qui suis-je réellement attaché(e)?
- Quelles sont les priorités de ma vie?
- Est-ce que je vis pour moi-même ou pour Celui qui, pour moi, est mort et ressuscité?
J’en parle à Jésus comme un ami parle à son ami.
Je poursuis en demandant à Dieu ce dont j’ai le plus besoin.
Puis je termine ce temps de prière en demandant: « Donne-moi seulement de t’aimer »
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