Je me mets en présence du Seigneur. Je lui demande la clairvoyance sur ce qui est source de bonheur
Je lis le psaume
Heureux qui craint le Seigneur
et marche selon ses voies !
Tu te nourriras du travail de tes mains :
Heureux es- tu ! À toi, le bonheur !
Ta femme sera dans ta maison
comme une vigne généreuse,
et tes fils, autour de la table,
comme des plants d’olivier.
Voilà comment sera béni
l’homme qui craint le Seigneur.
De Sion, que le Seigneur te bénisse !
Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie.
Je laisse résonner la promesse de bonheur de la part du Seigneur en restant sur les mots qui reviennent : « heureux » – « bonheur » – « béni » (v 1-2 et 4-5)
Ai-je déjà éprouvé ce bonheur? Dans quelles circonstances ?
Je regarde les images employées pour évoquer ce bonheur : les fruits du travail… la vigne généreuse… les fils rassemblés… les plants d’olivier…
Qu’est-ce que ces images évoquent en moi ?


Je considère maintenant celui à qui s’adresse cette promesse : « celui qui craint le Seigneur et marche selon ses voies ».
La crainte du Seigneur, ce n’est pas la peur de Dieu, mais le sens de sa grandeur ; l’humilité, le respect et l’émerveillement devant ce qu’Il est.
M’est-il arrivé d’être dans cette attitude ?
Marcher selon les voies de Dieu… pour le psalmiste la Loi et les commandements ; pour nous aujourd’hui prendre le chemin que nous montre Jésus-Christ, qui est venu accomplir la Loi.
Y a-t-il des circonstances où je me suis senti(e) ajusté(e) à la volonté du Seigneur ?
Est-ce que je perçois un lien entre les moments de bonheur ressentis et ma juste relation à Dieu et à sa volonté?
Je termine ma prière en rendant grâce au Seigneur… en lui demandant sa bénédiction… en lui confiant mon désir de suivre davantage son Fils…