Béni soit au nom du Seigneur celui qui vient !
Rendez grâce au Seigneur : Il est bon !
Éternel est son amour !
Mieux vaut s’appuyer sur le Seigneur
que de compter sur les hommes !
Ouvrez-moi les portes de justice :
j’entrerai, je rendrai grâce au Seigneur.
« C’est ici la porte du Seigneur :
qu’ils entrent, les justes ! »
Je te rends grâce car tu m’as exaucé :
tu es pour moi le salut.
Donne, Seigneur, donne le salut !
Donne, Seigneur, donne la victoire !
Béni soit au nom du Seigneur
celui qui vient !
De la maison du Seigneur,
nous vous bénissons !
Je lis le psaume, à haute voix, lentement, attentif à des répétitions…
« Je te rends grâce » : de quoi puis-je rendre grâce en ces jours ? Je relis le début de cette semaine, attentif à ce qui m’a été donné, même dans les plus petites choses.
« Tu es pour moi le salut. » / « Donne, Seigneur, donne le salut. ». Je perçois comment, dans ma prière, je professe ma foi, tout en ayant besoin de demander au seigneur de renouveler ma confiance
« Béni soit au nom du Seigneur… » / « Nous vous bénissons. ». De quelles bénédictions suis-je le destinataire ? Qui est-ce que je bénis ?
Je relis le psaume.
L’Évangile du jour nous dit : « Ce n’est pas en me disant : “Seigneur, Seigneur !”
qu’on entrera dans le royaume des Cieux,
mais c’est en faisant la volonté de mon Père qui est aux cieux. »
Je termine en disant le Notre Père et en m’arrêtant un peu plus longuement sur la demande : « que ta volonté soit faite. »